Les fragments d’un destin défunt
Le 8 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un zen oppressant. Les protocoles de sécurité, de manière générale stricts, avaient existé désactivés pour favoriser l’analyse du silence. Tous les relevés affichaient des montants normaux, zéro panne, nul banquise sur les circuits, aucune perturbation électromagnétique